Auteur : Charlotte Orcival

Format : poche

Nombre de pages : 296

Editeur : Harlequin

Présentation de l’éditeur :

Que feriez-vous si vous retrouviez l’amour de vos seize ans ? Laisseriez-vous passer votre chance une seconde fois ? Julien, trente-deux ans, photographe, papa et divorcé, doit très vite répondre à ces questions lorsque, un mois exactement après les attentats du 11 Septembre, il retrouve, dans un avion pour New York, Anna, l’amoureuse de son adolescence. Ébloui par la jeune femme qu’elle est devenue, Julien fait rapidement le choix de l’amour et se jette à cœur perdu dans une grande opération de séduction. Mais le monde dans lequel ils sont rentrés de plein fouet est incertain, fragile, difficile, à l’image de la relation qu’ils reconstruisent tous les deux… et l’amour ne suffit peut-être plus. Alors, aujourd’hui adultes, que sont-ils prêts à donner d’eux-mêmes pour vivre enfin leur histoire  ?

Résumé et Avis : 

Adolescents, Julien et Anna étaient inséparables et fous amoureux. Mais leur projet les ont éloignés et Julien est parti pour vivre ses rêves. Aujourd’hui, divorcé et père d’un jeune garçon, Julien poursuit sa carrière de photographe de mode professionnel à travers le monde. C’est à l’aéroport pour un nouveau voyage qu’il aperçoit Anna qui est sur le point d’embarquer sur le même vol que lui. 

Un mois jour pour jour après le 11 septembre, leur vol pour New-York est presque vide ce qui leur permet de renouer avec les souvenirs durant la traversée. A partir de ce jour, ils vont tenter de réanimer les sentiments de leur jeunesse.

Ce récit sur fonds de catastrophe aérienne historique m’a surprise. J’ai beaucoup apprécié les descriptions de New-York et les contextes mais l’histoire d’amour entre Julien et Anna m’a beaucoup moins plu. Si Julien a beaucoup souffert de son divorce il est à un stade de sa vie ou il est prêt à s’investir à nouveau. Contrairement à Anna qui malgré ses 30 ans est bloquée à la sortie de l’adolescence à cause d’un événement tragique.

J’ai eu de la peine à éprouver de la sympathie pour Anna, trop de tergiversation à mon goût.